jeudi 15 janvier 2009

Galliera, musée de la Mode de la ville de Paris.


Re Bonsoir,

C'est la deuxième fois que je vais dans ce musée et je suis toujours satisfaite, la première fois c'était pour aller voir les collections de Jean-Charles de Castelbajac avec un autographe à la clef et la seconde il y a quelques jours pour l'exposition "Sous l'Empire des crinolines".

Ce qui est intéressant dans ce musée c'est que les collections sont de qualités et variés ( et gratuit pour les étudiant en art).
Cette exposition nous montre les robes de bal de la court ainsi que tous les accessoires tendances de cette époque. Les reproductions des robes sont très réussites et il y a un éventail d'objets anciens, surtout bien conservés.
On peut voir les premiers livres de commandes des grands magasins comme le Printemps et celui du Louvre.
Un panel d'accessoire y est représenté comme le porte monnaie qui à cette époque devient un des accessoires très rependus chez les femmes (l'ombrelle, l'éventail).
Le corps des femmes était très marqué à la taille à cause des tenues. On remarque que les critères esthétiques n'étaient vraiment pas les même qu'aujourd'hui.
Bien qu'elle soit courte cette exposition nous apprend pal mal de chose. Le seul défaut c'est qu'on à pas le droit de prendre des photos T_T

C'est une exposition rafraîchissante qui nous sort du quotidien, et nous montre comme quoi la mode à bien changé depuis 1852.

Cindy

Prolongation au palais de Tokyo.



Bonsoir à tous,
L'exposition "d'une révolution à l'autre" se prolonge pendant une semaine.
J'avais été voir cette exposition au moi d'octobre et à vraie dire j'avais presque pas compris en quoi elle consistait. Il y avait trop de choses différentes et sur plusieurs thèmes( la musique, les banderoles, des tableaux etc).
Je suis retourné à l'occasion d'un autre cours et je l'ai vu complètement différemment, peut être à cause du contexte?... Et je l'ai mieux apprécié, enfaite j'ai aimé le concept de l'œuvre pédagogique, historique.
Le fait que Jeremy Deller expose des souvenirs, des objets qui appartiennent au passé nous apporte de la nostalgie et nous fait voyager autour de chaque partie, à chaque thème évoque une histoire d'une révolution dans le temps ainsi qu'une dualité(la partie Angleterre qui fait contraste entre le monde de l'industrie et l'arrivée du glam rock).
Ce que j'ai pas trouvé de super, c'était l'accrochage du début du rock en France, cette espèce de collection de souvenirs mit dans des cadres, fesait trop pensée à une exposition de souvenirs de vieux.
Mis à part ça cette exposition est très sympathique et change de l'habituel expo.

Cindy.

samedi 10 janvier 2009

La Couleur Rouge


La collection permanente au Centre Pompidou a eu une petite rénovation récemment… et toute est rouge. Sur l’étage cinq il y a maintenant une nouvelle salle qui s’appelle justement « Rouge ». C’est une collection des artistes variées qui, selon les conservateurs du Pompidou, utilisent la couleur rouge dans une façon on ne peut pas manquer. Pour moi, la description sur le mur qui explique la nature de la couleur rouge est un peu ridicule, avec des phrases comme « Rouge est une couleur primale, la couleur de feu ». Est-ce que c’est nécessaire ? En tout cas, les artistes dedans sont, apparemment, les artistes dans la collection permanente, mais je les ai jamais vu. Pour cette raison, j’ai trouvé que l’exposition était pas mal du tout avec des artistes géniales comme Marlene Dumas. Si vous n’aimez pas la couleur rouge, n’étés pas démoralisé…il y a plusieurs couleurs représentées dans cette salle. Après cette étude de rouge, j’ai fini ma journée au Beaubourg avec la peinture formidable de Balthus « Alice » qui représente une jeune fille avec une peau qui est bizarrement verte et grise. C’était la fin parfait pour moi, mais je suggère que vous alliez vous-même.

-- Artemisha

Picasso : Grand Artiste ou Sale Voleur ?



À Paris maintenant il y a un thème dans tous les grands endroits de l’art qui me gêne. Au grand palais c’est « Picasso et les maîtres », au Louvre c’est « Picasso et Delacroix » et au Musée d’Orsay c’est « Picasso et Manet : Déjeuner sur l’herbe ». Je me demande, est ce que c’est possible de voir quelques artistes à paris sans les reprises de leurs travaux de Picasso ? Il me semble que la réponse est un fort « non ». Apparemment, ça n’est pas possible. Mais, pourquoi ? Le troisième exemple dans le Musée d’Orsay est spécialement piquant parce qu’il y a l’air d’une exposition pour les enfants avec les grands arbres de Picasso qui sont sur les murs de ce grand musée de « l’art ». Ça n’est pas seulement moche, mais c’est aussi méprisant pour les spectateurs. Je ne veux pas dire que je n’apprécie pas les travaux de Picasso, mais je trouve que les conservateurs à Paris couvert la gloire de Manet et Picasso au même temps avec cette idée d’avoir des reprises dans une salle décorative et stupide. J’adore l’oeuvre « Déjeuner sur l’herbe » et « Olympia » de Manet, mais c’était impossible de voir la peinture à cause des touristes partout qui sont devant la peinture dans les grandes foules. J’étais vaincue donc je cherchais pour « Olympia » mais, quelle surprise !, c’était dans l’expo Picasso et les maîtres. Picasso a volé une de mes peintures préférées pour une expo devant laquelle on doit attendre dans le froid pour (au moins) une heure. Au Louvre la situation n’est pas mieux. Picasso a pris l’oeuvre de Delacroix « Les femmes d’Alger » et il a transformé les trois femmes en des figures grotesques qui ont des yeux, un vagin et des seins. J’en ai marre de ce système de voler des peintures qui peuvent rester seules et dire qu’ils doivent être avec un Picasso, sinon, ils n’ont pas de valeur.

-- Artemisha

Anish Kapoor au Guggenheim





Les vacances peuvent être un temps pour voir la famille, pour manger trop, et se détendre. Malheureusement, ma famille habitent dans les Etats-Unis, donc c’est un peu trop loin de Paris, et j’ai décidé de voyager seule pendant mes vacances. Même si je n’ai pas vu ma famille et mes amis, quand j’étais à Berlin j’ai assisté à une exposition d’Anish Kapoor. Il est dans le Deutsche Guggenheim musée maintenant avec un projet vraiment impressionnant. L’oeuvre s’appelle « Memory » et elle est un grand objet fabriqué en fer rouillé. Les spectateurs doivent sortir du musée pour passer par l’un côté à l’autre à cause de la taille de ce monstre. Dans la salle d’exposition j’ai l’impression qu’il y a quelque chose d’extraterrestre qui est tombé du ciel. Le truc plus impressionnant était après quand je suis entrée dans une salle toute blanche avec un carré sombre dans le mur. C’est dans cette salle que c’est possible à voir l’intérieur de l’oeuvre. Quand on voit l’intérieur c’est évident qu’Anish Kapoor est un maître des jeux d’espace. J’ai connu les dimensions de la salle dans laquelle cette sculpture est restée, mais c’était impossible de voir la fin de cet intérieur sombre et mystérieuse. J’avais l’impression d’un espace infini. Cette impression a une force extrême parce que les spectateurs sentent qu’ils peuvent voir un espace qui gonfle devant leurs yeux. Ce moment me bouleversait. Anish Kapoor va faire beaucoup des projets dans l’avenir dans les espaces publics et je ne peux pas attendre pour voir plus de cette artiste extrêmement intéressante.

-- Artemisha

dimanche 4 janvier 2009

Petite histoire d'un jour ...




J'ai "atterris" au détour d'une galerie rue vieille de Temple, chez Felli*. Je me souviens alors être déjà venue et avoir été frappée par cet artiste Marc Perez, un artiste travaillant avec des matériaux "pauvres" et laissant comme une trace d'humanité se saisir de ses œuvres.
Je tiens à en parler car quelques minutes plus tard je me retrouve au rassemblement La Métamorphose des Matériaux, où la je suis face à une pratique semblable plastiquement à celle de Marc Perez tout en étant plastiquement singulièrement différente.


En effet, je suis face à des sculptures très "ethniques", je ne suis pas sur que le terme soit approprié, mimant les traces du temps par des artifices tel que le projection de pigment afin de donner un effet passé, rouille à leurs sculptures. Je leurs ai posé la question, du pourquoi cet aspect non anturel alors qu'ils travaillent avec des matériaux récupérés, ils n'ont pas su me répondre clairement. Une sorte de distinction s'oppère alors entre l'aspect temporel qui devrait ressortir de ce travail et le résultat plus qu'artificiel obtenu. C'est ici que la distinction entre Perez et les Staêlens prend forme...





*Galerie Felli,
127 rue Vieille du Temple, 75003

exposant actuellement et jusqu'au 9 Janvier 2009, Agnès Baillon, Cherel, Roux-Fontaine, Oudry, Flachot, Ségéral...
WWW.GALLERIEFELLI.COM








Sich'
"Flicker"

Kirill Chelushkin
galerie Rabouan Moussion





Une exposition étonnante et pleine d'intérêts regroupant dessins à la mine de plomb et installations vidéo sur le thème de la ville. Dans un premier temps nous nous retrouvons face à de grand dessins à la mine de plomb avec une vue surplombant divers endroits sombres de la ville. Un espace très nocturne est mis en avant. Ce qu'il y a de plus captivant est de l'ordre de l'installation, bien qu'il est une technique importante en matière de dessin.

Distortion, dessin mine de plomb sur toile, 2007

En effet, trois vidéos étaient visibles, ayant pour support d'épaisses plaques de polystyrène blanc. Il se sert, ici, des sculptures afin de recevoir ces mouvements de la ville. De plus, elles se présentent comme de vrais tableaux animés.

Installation n°1

En bref, c'est une exposition qui mérite d'être vue, reflétant une société "autre" que la notre.

Galerie Rabouan-Moussion
rue Vieille du Temple, Paris
www.rabouan-moussion.com
Jusqu'au Janvier 2009

Sich'